Chaque partie du corps malade dévoile une symbolique toujours liée à une émotion vécue comme traumatique par la personne.
Le cerveau en sur-stress délègue au corps ce qu'il ne peut plus gérer. Les pathologies physique et psychique nous parlent toujours d'un choc psycho-affectif inavouable.
Le cerveau émotionnel (limbique) bloqué, fige la personne (corps et psychisme) dans le temps.
Exemple: Un jeune homme doit quitter sa femme et ses enfants en bas âge précipitamment pour une durée indéterminée. Il fera une poussée d’eczéma, signe de sa souffrance d'avoir été subitement séparé des siens. Cette poussée se développera en maladie chronique avec le temps. C'est ce qu'on appelle un conflit de séparation.
Notre mémoire cellulaire se construit dès notre conception et jusqu'à notre dernier souffle de vie.
Ce n'est donc pas seulement dans la petite enfance, pendant l'adolescence ou bien à l'âge adulte que notre corps peut déclencher des maladies et exprimer un conflit psycho-affectif.
Les 27 mois autour de la naissance sont également à prendre en compte. Il faudra parfois remonter dans les histoires familiales pour comprendre ce dont souffre la descendance.
Exemple : Enceinte de 6 mois, une femme de 21 ans perd son père dans un accident de voiture. Son enfant âgé de 12 ans, développera des migraine répétitives inexplicables.
Cette lecture symbolique du corps permet de faire prendre conscience à la personne de ce qu'elle est porteuse, afin qu'un travail de libération émotionnelle puisse commencer et l'inavouable puisse être parlé.