Comment comprendre les répétitions qui s'opèrent dans notre vie ? 

Comment ne plus léguer les dettes familiales aux générations suivantes ? 

Comment prendre conscience de notre fidélité familiale inconsciente à notre clan ?

La constitution de son génosociogramme apporte des clés de compréhension sur ce qui se rejoue à travers notre vécu. 

Il se confectionne:

• sur plusieurs générations

• avec les noms et prénoms de la famille

• les dates de naissance et de décès

• les numéros de fratrie

• les chocs et traumatismes connus (accident, perte d'enfant, maladie, abus...).

Ce travail de recherche permet:

• de nouvelles prises de conscience 

• est une opportunité d'embrasser nos mémoires familiales 

• d'appréhender différemment notre histoire personnelle

• de créer sa vie avec de nouvelles opportunités

La psychogénéalogie, science inventée par Anne-Ancelin Schützenberger, psychologue et psycho-thérapeute française dans les années 1980 engage un travail de recherche sur les mémoires familiales. 

"Aïe, mes aïeuls" (2002) décrit la manière dont nous sommes toutes et tous amenés à ne pas vivre notre vie mais à répéter des souffrances et événements de nos ancêtres. 

Notre cerveau archaïque est régit sous la loi de la survie. C'est là où se nichent nos mémoires familiales, les dettes et les crédits que notre famille nous a léguée. 

Cet héritage nous amène à vivre une vie teintée par des répétitions provenant de situations non-acceptées et de drames.

Le cerveau opère de manière invisible pour le conscient. Il compose avec les événements du passé, notre présent. 

Nous vivons au passé-composé.

La mission essentielle pour la survie de l'espèce est que l'individu reste loyal à sa lignée à travers une fidélité familiale inconsciente.